Le Lord Bertrand-Barnabé CourteBurnes Du Duc De Pétaouchnok acceda au trone a 13 ans. La premiére mesure qu'il prit fut l'ouverture de la chasse, et déclara l'ours et le loup espéces non protégés.
Ses premiéres batailles rangées eurent donc lieu contre des armées d'ours et de loups qui s'étaient révoltés. Il livra de sanglantes guerres qui renderent le pays exsangue. Cette premiére lutte clandestine armée dura de 1766 à 1770. Eu lieu une deuxiéme guerre, "la guerre des re-loups", de 1775 à 1776, qui marqua cette fois la victoire des CourteBurnes. Le bilan moral et financier s'avéra être au plus bas. Bertrand-Barnabé s'engaga donc aux coté du roi pour allez guerroyé au pif contre un peu tout le monde et amassez des trésors en pillant des contrées tranquillou pépére.
Ce qu'il fit, mais il perdit l'oeil droit contre les italien, le petit doigt du bras gauche contre les allemands, les dents de devant contre les anglais.
Principalement homme de guerre, peu soucieux de son royaume, ce dernier tomba peu à peu en désuétude, bien que la reine tenta de s'en occuper. Mais elle mourrut dévorer par un loup prématurement.
C'est au cours de la campagne contre les espagnols qu'il fut blessé, et on du l'amener à un lit d'urgence. Ce lit, confectionné avec des plumes de femmes du crazy horse, étais particuliérement moelleux. Il Prononca ainsi la fameuse phrase 'il est mou ton lit'. Il s'enfonca maladroitement à l'intérieure, avec son sabre a ses cotés, ce qui provoqua l'éventrement du matelas. Le matelas envoya partout des poussiéres sous les lits des autres blessés, ce qui provoqua de fil en aiguille la déformation de la citation vers sa forme actuelle.
Face à la montée de la verve révolutionnaire, Bertrand-Barnabé choisit rapidement le camp des nobles, les nobles comptes et les nobles contes. Bien que noble con, il finit ainsi sa vie.